Caraïbes du Sud – De Carthagène à Bridgetown

Get your sunglasses ready, because Cartagena is a riot of colour, charisma and Caribbean charm. The best way of seeing the city is by foot and soaking up the uniquely South American atmosphere. Stroll through the jumble of cobbled streets, step back in time, and enjoy one of the Caribbean’s loveliest destinations. Cartagena was declared a UNESCO World Heritage Site in 1984 as a shining example of an extensive and complete system of military fortifications in South America. The city’s strategic location, on a secluded bay facing the Caribbean Sea, meant that it was an essential stop from Europe to the West Indies during the time of commercial and naval exploration. Vestiges of this time are still to be found on the walls of several of the beautiful buildings lining the streets of the old town. The magnificent city is a walled fortress that stretches for 11 kilometres, dating from 1533 and once played host to Sir Francis Drake, who passed through in 1586 (and set fire to 200 buildings during his visit). Despite its 16th century roots, Cartagena today is a modern and glorious riot of colour. Fuchsia pink bougainvillea tumbles down from turquoise painted balconies, while well-preserved colonial buildings painted in vibrant colours line the streets. Take shelter from the heat and enjoy the sensual atmosphere that is so exclusively Colombian by grabbing a seat in a local bar, ordering a plate of Empanadas and enjoying a Guaro—the colloquial name for aguardiente — the country’s national spirit.

Santa Marta, la plus ancienne ville de la Colombie, est située sur la côte des Caraïbes et possède un beau port naturel, des plages et une vue splendide. Ces atouts ne sont que partie des raisons pour lesquelles les Espagnols décidèrent d’en faire leur première colonie. Leur choix a également été influencé par les ressources en or de ce site.
Fondée par l’explorateur espagnol Rodrigo de Bastidas en 1525, Santa Marta a souvent été pillée par des pirates au cours du XVIème siècle. Pendant la période coloniale, la ville était importante en tant que embouchure de la vallée de la rivière Magdalena. Elle est restée royaliste pendant la révolution et fut libérée en 1821 et devint alors un refuge pour Simon Bolivar, qui mourut à proximité du village de San Pedro de Alejandrino.

Aruba, la plus petite des dites îles ABC, se trouve à seulement 24 kilomètres au nord du Venezuela. Comme ses îles sœurs, Bonaire et Curaçao, Aruba a peu de végétation. Son paysage se compose essentiellement fragments débraillés de feuillage épars, notamment les cactus et les curieux arbres dividivi, courbés par le vent ainsi que d’énormes rochers et grottes intéressantes. Les principales attractions sont les plages magnifiques, ses eaux turquoises et une vie marine spectaculaire, qui attirent de nombreux visiteurs chaque année sur l’île. Palm Beach est considérée comme l’une des dix plus belles plages au monde. On y trouve une chaîne d’hôtels casinos fastueux avec, restaurants et boutiques exotiques alignés sur plusieurs kilomètres de plage de sable blanc. Les eaux limpides sont idéales pour la baignade et toutes sortes de sports nautiques. Si vous préférez rester au sec, vous pourrez profiter d’une excursion en sous-marin afin d’explorer le monde exotique marin.
L’or a été découvert sur l’île en 1825, mais en 1916 l’exploitation minière n’était plus rentable. En 1929, ce fut l’huile qui apporta la prospérité à Aruba. Une grande raffinerie a été construite à l’extrémité orientale de l’île, en employant à cette époque plus de 8.000 personnes. Lorsque la raffinerie a été fermée en 1985, les habitants d’Aruba ont été contraints de chercher d’autres sources de revenus, en concentrant leurs efforts sur le développement du tourisme. Aujourd’hui, l’éducation, le logement et les soins de santé sont en grande partie financés par une économie basée sur le tourisme. Conscient de ce fait, les habitants de l’île sont sincères lorsqu’ils accueillent les visiteurs avec la salutation « Bonbini », le mot natif papiamento pour la « Bienvenue ».

Aruba, la plus petite des dites îles ABC, se trouve à seulement 24 kilomètres au nord du Venezuela. Comme ses îles sœurs, Bonaire et Curaçao, Aruba a peu de végétation. Son paysage se compose essentiellement fragments débraillés de feuillage épars, notamment les cactus et les curieux arbres dividivi, courbés par le vent ainsi que d’énormes rochers et grottes intéressantes. Les principales attractions sont les plages magnifiques, ses eaux turquoises et une vie marine spectaculaire, qui attirent de nombreux visiteurs chaque année sur l’île. Palm Beach est considérée comme l’une des dix plus belles plages au monde. On y trouve une chaîne d’hôtels casinos fastueux avec, restaurants et boutiques exotiques alignés sur plusieurs kilomètres de plage de sable blanc. Les eaux limpides sont idéales pour la baignade et toutes sortes de sports nautiques. Si vous préférez rester au sec, vous pourrez profiter d’une excursion en sous-marin afin d’explorer le monde exotique marin.
L’or a été découvert sur l’île en 1825, mais en 1916 l’exploitation minière n’était plus rentable. En 1929, ce fut l’huile qui apporta la prospérité à Aruba. Une grande raffinerie a été construite à l’extrémité orientale de l’île, en employant à cette époque plus de 8.000 personnes. Lorsque la raffinerie a été fermée en 1985, les habitants d’Aruba ont été contraints de chercher d’autres sources de revenus, en concentrant leurs efforts sur le développement du tourisme. Aujourd’hui, l’éducation, le logement et les soins de santé sont en grande partie financés par une économie basée sur le tourisme. Conscient de ce fait, les habitants de l’île sont sincères lorsqu’ils accueillent les visiteurs avec la salutation « Bonbini », le mot natif papiamento pour la « Bienvenue ».

Bonaire’s small, tidy capital city (population 3,000) is five minutes from the airport. The main drag, J.A. Abraham Boulevard, turns into Kaya Grandi in the center of town. Along it are most of the island’s major stores, boutiques, and restaurants. Across Kaya Grandi, opposite the Littman’s jewelry store, is Kaya L.D. Gerharts, with several small supermarkets, a handful of snack shops, and some of the better restaurants. Walk down the narrow waterfront avenue called Kaya C.E.B. Hellmund, which leads straight to the North and South piers. View less

In the center of town, the Harbourside Mall has chic boutiques. Along this route is Ft. Oranje, with its cannons. From December through April, cruise ships dock in the harbor once or twice a week. The diminutive ocher-and-white structure that looks like a tiny Greek temple is the produce market, where one can find plenty of fresh produce brought over from Venezuela. Pick up the brochure Walking and Shopping in Kralendijk from the tourist office to get a map and complete list of all the monuments and sights in the town.

Curaçao est la plus grande des Antilles néerlandaises, 61 kilomètres de long et 11 de large. Son paysage varié regorge de collines, de pâturages, d’imposants cactus, d’arbres dividivi et de marais salants. Un fascinant mélange ethnique s’est formé dans la mesure où les Juifs portugais rejoignirent les Africains, les Arabes, les Indiens et les Européens sur cette île tropicale riche en histoire et en patrimoine culturel. Aujourd’hui, Curaçao est remarquable, non seulement pour ses nombreux groupes ethniques et ses religions, mais aussi pour la tolérance et le rythme décontracté au sein duquel vivent ses habitants en harmonie. Désormais autonome, Curaçao est toujours étroitement liée aux Pays-Bas. Les Néerlandais et le papiamento local sont les langues officielles, l’anglais et l’espagnol sont parlés couramment. Le papiamento s’est développé à partir d’un mélange de langues Africaines, de Portugais, d’hébreux, d’espagnol, de néerlandais et d’anglais.

On retrouve des îles dans les Caraïbes bien plus populaires que Sainte-Lucie, mais il est aussi probable qu’elles soient beaucoup moins belle. Cette île a été l’un des secrets les mieux gardés des Caraïbes. Les visiteurs qui ont eu des vacances inoubliables sur l’île de Sainte-Lucie, toute de vert vêtue, sont heureux que les foules se rassemblent ailleurs. Cependant, l’augmentation de la construction de villas et de resorts va surement faire augmenter le tourisme dans un proche avenir.

Les Grenadines comprennent une chaîne de 100 petites îles rocheuses et îlots, qui sont éparpillés entre Saint-Vincent et la Grenade. Bequia, appelée «l’île des nuages» par les Indiens des Caraïbes, est la plus grande des dépendances de Saint-Vincent. L’île de 11 km² attire bon nombre de plaisanciers et bateaux de croisière plus petits. La construction et la réparation de bateaux sont l’activité principale, mais le tourisme y est de plus en plus important. Mises à part les plages immaculées, l’intérieur de l’île est tout aussi surprenant, il consiste en un terrain vallonné et boisé, parsemé d’une variété d’arbres fruitiers et à noix.
Le village principal est situé à Port Elizabeth dans la baie de l’Amirauté; sa marina est occupée par de nombreux yachts de luxe. De Port Elizabeth une promenade au Mont Pleasant s’impose, la vue spectaculaire de la baie de l’Amirauté, en vaut vraiment la peine. La plage est agréable, bordée d’arbres, plage de sable connu sous le nom de plage Princess Margaret. La plongée avec tuba est particulièrement recommandée à Northwest Point, Spring Bay et Bay amitié. L’accès à toutes ces plages requiert un trajet en taxi. Bien que la mer soit généralement douce, parfois il peut y avoir des vagues puissantes et un fort courant nécessitant une grande prudence.

Sur la côte sud, Moon Hole dispose d’un complexe hôtelier unique, construit sur les falaises, c’est un bel exemple d’architecture contemporaine.

En plus d’une grande variété de sports nautiques et une météo presque parfaite tout au long de l’année, Bequia offre de bons restaurants et des boutiques d’artisanat, une combinaison qui rend cette petite île idyllique une vraie trouvaille pour le voyageur éclairé.

La plus orientale des îles des Caraïbes, la Barbade se tient comme une sentinelle accueillante à l’entrée des Antilles. L’île a été pendant des siècles la première escale pour les explorateurs qui s’aventuraient vers l’ouest, en commençant par les navigateurs espagnols et portugais qui débarquèrent à la Barbade dans les années 1500 à la recherche d’or et de richesses. Au lieu de cela ils trouvèrent une île dense en végétation habitée par une petite population d’Amérindiens, dont certains furent capturés et emmenés vers d’autres îles pour servir d’esclaves. Bien que les Ibériques aient choisi de ne pas s’installer sur l’île, ils lui attribuèrent tout de même un nom, Los Barbados (les «barbus»), qui est généralement considéré comme dérivé des racines aériennes des Figuiers barbus.
Barbade attire de nombreux visiteurs grâce à sa grande beauté naturelle, ses terres variées et ses monuments historiques. Elle dispose de 1500 kilomètres de plages immaculées, une côte atlantique sauvage, des vallées fertiles, des maisons de plantations distinguées, des stalactites dans ses grottes, une vie sauvage préservée ainsi que des jardins tropicaux charmants. La capitale de l’île, Bridgetown, est l’un des principaux ports des Caraïbes, bouillonant d’activité.