Buenos Aires à Rio de Janeiro

Surnommée la « Reine du fleuve la Plata » par l’écrivain argentin Carlos Romero, Buenos Aires est la capitale cosmopolite de l’Argentine et des Portenos synonyme de l’Argentine. Sans doute la plus européenne de toutes les capitales d’Amérique du Sud, même dans le répertoire on trouve plus de noms de famille indiquant l’héritage italien ou allemand que l’espagnol. La ville a connu un essor au XIXème siècle, en s’inspirant de Paris, et dès lors, elle est souvent désignée comme la Paris de l’Amérique du Sud.

Surnommée la « Reine du fleuve la Plata » par l’écrivain argentin Carlos Romero, Buenos Aires est la capitale cosmopolite de l’Argentine et des Portenos synonyme de l’Argentine. Sans doute la plus européenne de toutes les capitales d’Amérique du Sud, même dans le répertoire on trouve plus de noms de famille indiquant l’héritage italien ou allemand que l’espagnol. La ville a connu un essor au XIXème siècle, en s’inspirant de Paris, et dès lors, elle est souvent désignée comme la Paris de l’Amérique du Sud.

Réputée pour ses conférences et festivals internationaux de cinéma, Punta del Este est l’une des plus belles stations balnéaires en Amérique du Sud. De nombreux Uruguayens, Argentins Brésiliens fortunés y ont construit des demeures spectaculaires le long de la magnifique côte. Des célébrités et des jet-set du monde entier fréquentent Punta del Este pour ses plages, son air frais et sa vie nocturne. Pour de nombreux habitants de Montevideo cette station à la mode offre une destination de week-end populaire. Avec un horizon alternant des tours aux nombreux étages avec des manoirs de millions de dollars, Punta del Este abrite une culture sophistiquée et une ambiance conviviale. Pendant la journée, habitants et visiteurs débarquent sur les plages de la péninsule qui offrent un cadre idéal pour toute une panoplie de sports nautiques. Le côté des terres, avec ses dunes de sable, de grandes forêts de pins, d’eucalyptus et de mimosas, forme un contraste avec le reste. Une marina remplie de yachts élégants, d’excellents restaurants, de boutiques, de galeries d’art, d’un musée de renom, de casinos ainsi que de trois terrains de golf viennent s’ajouter à une atmosphère digne d’une Riviera.

La forêt tropicale atlantique nous attire vers l’intérieur des terres depuis le port de Paranaguá, et il est amusant de l’explorer en bateau, en autocar, à pied ou même en montant dans une tour ! Une grande partie des forêts riches et variées de la côte atlantique du Brésil a été défrichée, mais ici, les plus grandes étendues qui subsistent sont conservées dans des parcs nationaux et des réserves. L’unicité et la rareté de la biologie de la forêt ont conduit à la déclaration de la zone de patrimoine mondial des forêts atlantiques du Sud-Est du Brésil.

Portuguese for beautiful island, Ilhabela carries its name well. Considered a natural paradise by both locals and visitors alike, the island is a kaleidoscope of beautiful beaches, lush tropical rainforests and an incredible 360 waterfalls. Located a four hour drive (and a 15-minute ferry ride) from São Paolo, 85% of the island is a UNESCO-Biosphere Reserve. View less While people may come initially to Ihalbela for its famous beaches, (one of which was named as a top ten worldwide beach by The Guardian), expect much greater things that just sunning and relaxing in the shade from this little island. With almost 25 miles/40 kilometres of pristine beaches, fun in the sun is certainly always an option, but Ilhabela is also a vibrant little city, full of vivacity and history, just waiting to be discovered. Located on the west coast of the island, Ilhabela town still shows signs of its colonial past, examples of which can be see through the local architecture. Perhaps one of the most photogenic chapels you will see on the island is the Nossa Senhora D’Ajuda. Built in 1806, the Catholic church is a pretty little white-washed building set on a hill, positioned as if protecting over the town. Decked with colourful bunting much of the time, the church is filled to the rafters on holy days with locals expressing their faith. The interior of the church has signs of faded grand charm, much like the city itself. Several miles before the entrance to town, on the way to the ferry, is the Princess’ House, an impressive 18th-century mansion belonging to the Fazenda Engenho d’Agua, one of the most important of Ilhabela’s many former sugar plantations.

Située à l’ouest de Rio de Janeiro, et connue comme un paradis perdu sous les tropiques, ce village a été découvert lorsque l’actrice française Brigitte Bardot y fut photographiée en 1964. Aujourd’hui, c’est une station balnéaire à la mode fréquentée en période de vacances, elle dispose de 25 plages à proximité, alors qu’elle n’était qu’un petit village de pêcheurs en 1740.

Aujourd’hui, avec son centre reconstruit plusieurs fois depuis l’époque coloniale, l’intérêt majeur réside de la ville dans les communautés de plage au sud du centre-ville plutôt que dans les bâtiments et les monuments de Rio. Durant environ 60 ans, les quartiers des plages de Copacabana, Ipanema et Leblon furent le cœur et l’âme de la ville de Rio, procurant une source constante de loisirs afin de maintenir la renommée de la ville en tant que capitale touristique la plus dynamique et captivante en Amérique du Sud.

Aujourd’hui, avec son centre reconstruit plusieurs fois depuis l’époque coloniale, l’intérêt majeur réside de la ville dans les communautés de plage au sud du centre-ville plutôt que dans les bâtiments et les monuments de Rio. Durant environ 60 ans, les quartiers des plages de Copacabana, Ipanema et Leblon furent le cœur et l’âme de la ville de Rio, procurant une source constante de loisirs afin de maintenir la renommée de la ville en tant que capitale touristique la plus dynamique et captivante en Amérique du Sud.